remerciements

Merci à tous ceux qui m’ont soutenu pour l’écriture de ce livre, à mes proches et à mes éditeurs, Françoise Verny et Christophe Bataille.

Merci aux historiens et aux passionnés de cette épopée cathare dont les travaux m’ont inspiré ce roman et m’ont permis de comprendre et d’aimer cette époque troublée. René Nelli m’a offert de pénétrer la vie quotidienne des cathares et des troubadours (« Les Cathares du Languedoc » et « Les Cathares : Hérésie ou démocratie »). Le travail de Michel Roquebert m’a également été d’un soutien précieux, en particulier le tome 3 de son « Épopée cathare : Mourir à Montségur », auquel on pourra se reporter pour de plus amples détails sur le martyre hérétique. Je voudrais aussi saluer le livre de Zoé Oldenbourg, « Le Bûcher de Montségur », et celui d’Anne Brenon, « Les Cathares : Pauvres du Christ ou Apôtres de Satan ? », dont la clarté et l’esprit de synthèse m’ont aidé dans la compréhension, l’organisation et le choix des événements que traverse Escartille au cours de son périple. Je salue également Jean Markale qui, en habitué des frontières de la légende, m’a apporté avec « Montségur et l’énigme cathare » un éclairage inhabituel sur cette époque. Merci également à Michel Gardère et ses « Rituels cathares » et clin d’œil à « Melmoth », de Charles Robert Maturin. Je voudrais, enfin, rendre aux inestimables chroniqueurs du temps, Pierre des Vaux-de-Cernay (« Historia albigensis ») et Guillaume de Tudèle (« Chanson de la Croisade albigeoise » éditée et traduite du provençal par Eugène Martin-Chabot), les honneurs qui leur sont dus : je leur ai emprunté quelques vers occitans pour Le Livre de Vie d’Escartille, et j’y ai trouvé les formules les plus authentiques et les plus redoutables du pape Innocent III.

Que tous me pardonnent les quelques libertés nécessaires aux besoins de la fiction, et qu’ils reçoivent eux aussi ce livre comme un hommage à leur propre quête, passée et à venir.

Notre quête à tous.